Une directrice ou un directeur peut s’adresser à ses employés en utilisant leur prénom, mais l'inverse n'est pas courant. Il est préférable d'être assez formel avec ses collègues dans un premier temps.
Les tâches sont souvent réalisées au dernier moment et il faut être persévérant et psycholoque pour arriver à ce que la contrepartie bosniaque respecte les délais.
Les problèmes doivent être traités en privé.
Les connaissances, l’expérience, l'effort au travail et la fiabilité sont les qualités les plus appréciées et attendues chez les dirigeants. Les aptitudes au management seront également très remarquées chez les expatriés, qui peuvent rapidement devenir un modèle. Des séances quotidiennes d’information et une communication claire et répétée sont nécessaires.
Obtenir une bonne collaboration de la part de ses équipes locales est naturel. Lorsque le personnel ne réagit selon nos attentes, cela peut signifier que la tâche n’a pas été comprise et aurait besoin d’une plus grande clarification.
Les décisions sont prises par les dirigeants, même si les idées peuvent venir d'autres personnes. Les séances de brainstorming et autres initiatives de travail collaboratif se mettent progressivement en place.
On demande à s'adresser directement à la hiérarchie, lorsque c'et nécessaire. Mais le dirigeant est libre de donner suite ou non aux sollicitations.
En cas de difficultés, les subordonnés essaieront de les résoudre eux-même, puis s'adresseront à leur supérieur hiérarchique direct.
Les décisions sont prises de manière centralisée, sans consultation du personnel, mais les nouvelles générations sont plus sensibles au management participatif.
Comme dans beaucoup de cultures, il est important de ne pas se faire humilier en public.
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